L’OMS est en train de créer un groupe technique multidisciplinaire mondial pour délivrer des conseils sur les questions liées à la santé numérique.
Le nouveau Département Santé numérique de l’OMS s’efforcera d’exploiter la puissance des technologies numériques pour la santé et d’orienter les développements dans ce domaine afin de contribuer à la réalisation des objectifs du triple milliard du Programme général de travail (GPW13) et de l’Objectif de développement durable 3 (Permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge) pour que chacun accède au niveau de santé le plus élevé. La résolution WHA/71 A71 de l’Assemblée mondiale de la Santé sur la santé numérique pose les bases de ce travail.
Pour appuyer ces travaux, l’OMS dresse actuellement une liste d’experts dans divers domaines liés à la santé numérique, tels que les approches stratégiques, les domaines d’intervention et les structures de gouvernance pour la réglementation et l’adoption des solutions et produits de santé numérique. Certains de ces experts seront sélectionnés pour faire partie d’un groupe consultatif technique, et d’autres pourront être appelés à intégrer des sous-groupes spécifiques.
Les membres du groupe consultatif technique auront une compréhension et une expérience dans les domaines suivants : santé numérique, programmes et politiques de santé numérique à l’échelle nationale ou à grande échelle, intelligence artificielle et santé, réalité virtuelle et augmentée dans les soins de santé, innovation biomédicale, chirurgie robotique, technologies à porter, santé et bien-être, traçabilité (p. ex. chaîne de blocs) et santé, éthique, gouvernance et sécurité dans l’écosystème de la santé / économie de la santé / droit de la santé axés sur la santé numérique. Les personnes qui souhaitent se porter candidates pour participer à ce groupe trouveront des informations sur le processus de dépôt de candidature ici.
L’OMS publiera le nom des membres du groupe consultatif une fois qu’elle aura reçu les réponses et évalué les conflits d’intérêts.
Source : OMS